La prostitution, un véritable métier

Si métier signifie une activité légale permettant à un ou plusieurs individus de subvenir à leur besoin par le fait de toucher une rémunération en échange d’un travail bien déterminé qu’il ou ils fournissent. Pouvons-nous dire autant de la prostitution ? Devons nous la catégoriser comme une activité commerciale, sociale, médicale ou sportive ? En tout cas, de nos jours, la prostitution constitue un véritable réseau.

Forcée ou consentante, une prostituée est actuellement une travailleuse à part entière. Qu’elle exerce cette activité pour son propre compte, pour le compte d’une personne ou pour le compte de la boîte qu’elle représente, une prostituée peut travailler de jour comme de nuit, à mi-temps ou à plein temps, de façon occasionnelle ou contractuelle. Elle perçoit sa paie après chaque prestation, tous les jours, à chaque fin de semaine ou à chaque fin de mois moyennant des primes de quantité, de qualité ou de fidélité et assiduités. Pour accomplir son travail, une prostituée reçoit des avantages (habits, coiffure, maquillage, drogue…), des indemnités (déplacements, communication…) ou même des frais de représentation en fonction de la demande.

L’avènement des maisons clauses a fait de la prostitution un véritable métier. En effet, dans ces maisons clauses, les clients vont et viennent pour se relaxer et se détendre (par des massages, des spas, des remises en forme…) mais à des fins sexuelles. Des investisseurs s’engagent à fournir à des personnes, très susceptibles de se prostituer, un local, de l’immobilier (comptoir, lits, placards, canapés…) les équipements destinés aux activités officielles, les fournitures et matériels nécessaires pour les fins sexuelles.

L’univers de la mode et de l’internet est aussi des facteurs majeurs dans l’évolution de la prostitution. Ce cas concerne souvent les jeunes qui n’ont pas encore les moyens financiers pour suivre la mode. Aussi, pour avoir les vêtements, les chaussures, les sacs, les bijoux… de leur rêve, elles se lancent dans le moyen le plus facile de gagner de l’argent. Le cas du Bizi à Abidjan le confirme. Des jeunes filles de 16 à 25 ans se regroupent et forment un groupe. Le plus inquiétant dans cette situation est le fait que ces filles ne reculent devant rien pour des pratiques sexuelles folles. Les VIP sont leurs principaux clients et pour cela elles doivent s’habiller et paraître comme telles.

Avec ces activités, les prostituées peuvent partir de chez eux le matin comme tout le monde et rentrer le soir après avoir travaillé. Le plus, peut-être, pour ces filles est celui d’exercer « un travail plaisant où elles sont toujours complimentées et chouchoutées ».

Les quartiers où trouver les prostituées parisiennes

Certains quartiers sont plus connus que d’autres, les clients savent donc s’il faut se rendre à proximité du bois de Boulogne ou s’ils doivent se focaliser sur la gare Saint-Lazare. Avec les quartiers où travaillent les prostituées à Paris, les clients ne perdent pas de précieuses minutes à chercher puisque les adresses sont plus faciles à repérer.

  • Les prostituées ont l’habitude de travailler à proximité de Paris, elles ont donc réussi à s’adapter à la pénalisation des clients.
  • Vous pourrez les retrouver du côté de la gare du Nord et au Boulevard Barbès.
  • La rue de la Gaité et Montparnasse sont également deux zones très connues.
  • Les gares restent des zones privilégiées, vous pouvez donc vous rendre à la gare de Lyon.
  • Dans la capitale française, il y a également des rues à envisager si vous ne souhaitez pas vous perdre en dehors de Paris.
  • Il est conseillé de se rendre à la rue Saint-Denis et à Pigalle puisqu’il est le quartier renommé de la capitale.

Il n’y a pas forcément des jours et des heures à privilégier puisque les prostituées sont constamment présentes dans Paris et dans les environs, il faut toutefois s’y rendre le soir pour être un peu plus tranquille.